Dernière conférence de l’année militante
juin 21
Toile nationaliste
Revue L'Héritage
Compte-rendu de la conférence du vendredi 20 mai
mai 27
C’est avec un grand honneur que nous avons reçu parmi nous l’abbé Pozzeto. Conformément aux exigences de son ministère, M. l’abbé nous a entretenus de la religion catholique, cependant sur un aspect qui nous intéresse éminemment.
Le catholicisme, nous dit-il, est la religion militante par excellence, dont la morale ne tolère ni la stagnation ni la médiocrité, mais demande une ascension continuelle vers les cimes. Il s’agit de se conquérir soi-même en maintenant un constant effort de vertu, pour vivre pleinement de Foi, d’Espérance et de Charité. La Charité du catholique a pour premier objet Dieu, et se déverse à flots continus sur son prochain et sur la société en tant que telle. Les catholiques contemporains ne sont pas des engagés. Ceci vient originellement d’une méconnaissance de ces trois dons théologales. Foi, Espérance et Charité donne au catholique l’impérieux devoir de s’investir en politique, de combattre pour qu’advienne le règne social du Christ : le règne du Bien, de la Justice et de la Vérité.
M. l’abbé nous a recommandé les retraites dites “de saint Ignace” comme étant d’un incomparable bienfait pour nos âmes en quête de perfection; il nous a encore rappelé que l’annuel pèlerinage de Chartres effectué par de nombreux catholiques est à la base une action de témoignage, une proclamation publique de la vérité; en tant que cette marche de sacrifices et de prière est destinée à être un témoignage au sein de la société, ce pèlerinage a des retentissements politiques.
Un militant catholique en politique est un catholique accompli.
8 et 9 mai… Jours de mémoire
mai 15
Les 8 et 9 Mai de chaque année sont traditionnellement pour le milieu nationaliste des jours de mémoire : cette mémoire que l’on s’efforce tant de nous arracher, que l’on entoure de mille hontes nous rappelle à nous fiers Français que nos pas s’inscrivent dans ceux qu’ont laissé nos prédécesseurs.
Le 8 mai est le jour de la solennité de la fête de Sainte Jeanne d’Arc, patronne secondaire de la France. Elle fut brûlée vive le 13 mai de l’année 1431, pour avoir été l’instrument que Dieu Lui-même se choisit pour rétablir le salut politique de la France.
Jamais au cours de l’histoire Dieu n’est intervenu ainsi dans la politique d’un Etat. Signe de son Amour de prédilection pour notre pays, ce témoignage divin est pour nous la source de la plus belle espérance. Symbole d’espérance spirituelle, d’espérance politique, Sainte Jeanne d’Arc exhorte tout Français catholique à consacrer sa vie à la restauration du règne social de Jésus-Christ. Si nous ne sommes pas ambassadeur des volontés divines pour nous targuer d’une mission extraordinaire et miraculeuse, pour le moins devons-nous considérer que le sang qui coule dans nos veines et Celui qui nous ouvre la porte du Ciel nous engage. Il n’est pas audacieux de dire que le catholicisme fait partie de l’essence de la France. Qui comprendra alors que notre devoir est de nous engager corps et âme au renouveau politique et catholique de notre pays ?
Le 9 mai 1994, Sébastien Deyzieu mourrait à l’âge de 22 ans, victime de la répression policière. Ce militant nationaliste nous en dit long sur la profondeur des convictions que nous devons posséder. Une messe fut célébrée à son intention ce dimanche soir en l’église Saint-Nicolas du Chardonnet ; le sermon qui nous y a été prêché nous exhortait tous à être une jeunesse enflammée, ardente et pure, à la hauteur de l’idéal que nous nous proposons ; une jeunesse qui soit à même de comprendre que notre combat vaut largement le sacrifice de nos vies.
Agissons donc et prions notre petite Jehanne de Donrémy pour que nous nous montrions à la hauteur de la mission qui est notre.
compte-rendu
mar 23
Le vendredi 11 mars, un spécialiste des lobbys nous a fait l’honneur de sa présence et nous a entretenu sur le thème de l’immigration: est-elle inéluctable ? Une cinquantaine de militants et de sympathisants de tous âges étaient présents pour recevoir de notre conférencier un peu de ce feu qui l’anime. Fort de ses cinq volumes traitant de la question juive, cet écrivain fait partie de ceux qui ont conscience de l’état de décrépitude dans lequel se trouve notre pays et de la puissance de ceux qui mène le bal. Il ne fait pas seulement ce constat accablant mais le dénonce ouvertement. Nous l’affirmons à qui veut entendre : cet écrivain qui a eu quelques problèmes avec la justice n’est ni dépressif, ni abattu par les procès ! Etrange ? Si nos ennemis sont puissants ils ne sont pas tout-puissants. Si des hommes ont su formater les esprits pour la perversion, d’autres peuvent les redresser vers le vrai, le beau, le bien. Nous ne disons pas que cela est facile, nous affirmons que cela est possible. Nous, militants nationalistes, avons beaucoup à apprendre du camp adverse ; chacun de leur acte individuel, chaque entreprise personnelle, chaque choix professionnel et familial est tout tendu vers leur but. Vous désirez l’ordre nouveau ? Qu’aucune de vos journées ne s’achève sans que vous ayez contribué d’une manière ou d’une autre à son futur avènement. Dans une société démocratique comme la nôtre, les hommes dictent la loi. Cela signifie que le juste comme l’injuste se meuvent aisément sur l’échelle des valeurs. C’est à force de propagande médiatique que les esprits rentrent dans ce moule normatif qu’on leur impose. En conséquence camarade, ce renouveau si ardemment désiré dépend entièrement de ton engagement au quotidien, in concreto, et de notre impertinent courage à ré-enseigner la vérité contre tous les politiquement, historiquement et moralement corrects.
